UTOPIA

Nom : Utopia (Anciennement Kra’llen)

Type : Planète.

Climat : Humide ou désertique.

Système : Zone morte.

Terrain : En grande majorité de jungles et de mers. Très montagneux, existence d’un important désert unique.

Habitants : Nosh’Kaï / Thû’kaï / Colons.

Gouvernement : La Confrérie / Nosh’Kaï

Langue parlée : Commun / Kaï.

Population : Estimée à moins d’un million.

Durée du jour : 24 heures standards

Durée de l’année : 364 jours standards

Niveau Technologique : Alternatif

Ressources précieuses : Ruines antiques / Awa / Différents types de métaux et roches.

A l’origine, celle désormais appelée Utopia, portait le nom de « Kra’llen » par son peuple natif. Ancienne planète du Berceau et figurant parmi les 7 juste avant la troisième Ere, elle en est depuis exclue à la suite d’une guerre entre les Nosh’Kaï et les envahisseurs. Considérée depuis lors comme morte et hors des frontières.

Planète essentiellement formée de vastes mers et de jungles hostiles, nombre de ses continents ou régions sont délimités par des chaines de montagnes vertigineuses, offrant bien souvent des murailles naturelles face aux menaces maritimes.

L’Awaculture.

Mode d’agriculture principal de la planète, il s’agit ni plus ni moins du travail de l’eau. Celle d’Utopia possède des propriétés et qualités rares, sa couleur changeant en fonction de la température et des saisons, elle est sujette à de nombreuses théories et utilisations. Sa constitution même, évolue d’une teinte à l’autre. Chauffée, elle devient alors orangée, plus épaisse et sucrée, la rendant parfaite pour la production de boissons et surtout d’alcools.

Sa forme gelée, est quant à elle utilisée pour des décoctions, baumes ou potions. Il existe certaines mers qui sont de véritables et vastes arc-en-ciel, berceaux de nuances colorées à perte de vue. Dans certains courant de pensé, il est dit que l’eau est en réalité le reflet de l’âme.

En effet, la couleur agirait avant tout comme un catalyseur d’émotion, sensible à la nature profonde de ceux qu’elle touche. A titre d’exemple, une personnalité qualifiée de forte voire explosive, aura tendance à rendre l’eau rouge autour d’elle. A l’inverse, les personnes plus calmes ou introverties, l’adouciront et provoqueront une couleur plus clair et azurée.

Dans le même esprit, d’autres vont plus loin encore et pensent que l’eau aurait autrefois fusionnée avec la dépouille et le sang d’un dieu, lequel se serait laissé mourir dans les âges anciens. Son corps donna la terre, Son sang, l’eau, Ses derniers souffles, le ciel. Un conte qui n’est pas sans rappeler certains autres tout aussi connus dans d’autres cultures. Aujourd’hui, elle sert avant tout pour l’awnification et permet d’offrir une vaste gamme de produits que beaucoup raffolent sur Utopia. De la simple consommation à la médecine. Considérée comme l’un des plus grands trésors de la planète.

Ses ruines.

Utopia possèdent un grand nombre de paysages antiques, rappelant ses anciennes civilisations ou celles qui en furent de passage. La plupart sont d’âges ou périodes oubliés mais ces ruines seraient la cause de l’invasion de l’Empire Khazan sur Utopia.

Les Nosh’Kaï.

Peuple de géants à la peau colorée, les Nosh’Kaï figuraient parmi les peuples les plus pacifiques du Berceau du temps où ils en faisaient encore parti. Ayant toujours refusés de rejoindre la lutte contre Zélion, jamais ils ne se joignirent au Consensus. Ce qui aurait certainement changé le visage de la guerre auquel cas.

Être non belliqueux ou conquérants n’en font pas des pacifistes pour autant. Le peuple « Kaï » est certainement l’un des plus guerrier qui soit, aux combattants farouches et agiles, usant de leur grande taille pour s’assurer un avantage certains dans leurs vastes jungles qu’ils défendent envers et contre tout.
Là où les Waï’den sont également proches de la nature mais avant tout de la faune, les Nosh’Kaï eux, adoptent une philosophie plus spirituelle et contemplative de leur monde.

Ils manquèrent de disparaitre suite à l’invasion Khazan, faute de la mort de tous leurs hommes lors d’une bataille désastreuse. Les femmes pour uniques représentantes, elles évoluèrent pour survivre, parvenant à s’accoupler entre elles mais ne donnant naissance qu’à des spécimens du même sexe.
De leur désespoir, une divinité apparue, prenant la forme d’un arbre gigantesque au centre de leur jungle principale. Ce dieu veilla sur elle et leur permit de lier leurs corps à la technologie abandonnée de leurs anciens ennemis. Depuis, les Nosh’Kaï souvent appelés « Amazones » à cette période, mêlèrent leur savoir à celui des Khazan pour créer une science hybride.
Elles greffèrent des parties métalliques à leurs corps, voire les remplacèrent et créèrent de nouveaux appareils que ceux elles pourrait utiliser, comme des planeurs en forme de planches afin de pouvoir rapidement se mouvoir sur la planète, en terre comme en mer.

Les Thû’Kaï.

Héritiers des Nosh’Kaï, les Thû’kaï furent le résultat d’une expérience macabre qui se réalisa en même temps que le second Cataclysme, lequel annonça la Troisième Ere.

Fusion entre les Nosh’Kaï et les Drals, cette union d’abord contre nature offrit une issue à cette civilisation au bord de l’extinction. Les deux peuples Kaï s’unirent pour ne former qu’un, le premier adoptant le second.
Ils représentent la menace principale qui rodent autour de la Confrérie depuis la création de celle-ci ou plutôt, du remplacement de son dirigeant.